Hépato-gastro-entérologie

Référent interne

Pierre VERDIER-DAVIOUD –

Coordonateur local

Pr Côme LEPAGE –

Au CHU de Dijon

Les praticiens du service sont :

  • Dr Anne MINELLO, PH : Chef de service
  • Pr Côme LEPAGE, PU-PH
  • Pr Sylvain MANFREDI, PU-PH
  • Pr Marc BARDOU, PU-PH
  • Dr Jean Louis JOUVE, PH
  • Dr Christophe MICHIELS, PH
  • Dr Alice GAGNAIRE, PH
  • Dr Marianne LATOURNERIE, PH
  • Dr Antoine DROUILLARD, PH
  • Dr Thibault DEGAND, PH
  • Dr Camille BAZIN, PHC
  • Dr Thomas MOUILLOT, CCA
  • & 2 CCA et 3-4 assistants partagés

Le service est réparti :

  • l’hôpital de jour (biothérapie pour les MICI, bilan pré-greffe, ponction d’ascite, bilan nutritionnel, …)
  • 1 secteur d’hospitalisation complète à orientation en hépatologie de 10 lits
  • Ces deux secteurs sont couplés en stages de 3 mois / 3 mois.
  • 1 secteur d’hospitalisation complète à orientation en cancérologie digestive de 10 lits
  • l’UMAC, unité dédiée à l’hospitalisation de jour en oncologie
  • Ces deux secteurs sont couplés en stages de 3 mois / 3 mois.
  • l’hôpital de semaine de 12 lits dédié à l’endoscopie, pré-greffe, lutathérapie … (2 internes)
  • l’UMC, unité de soins intensifs de 6 à 10 lits, avec une activité assez polyvalente que ce soit
    hémorragie digestive, pré ou post greffe, pancréatite aiguë grave (2 internes)
  • l’endoscopie (2 à 3 internes selon les inter-CHU et le poste en gastro-pédiatrie)

Au CHU il s’agit de stage de 3 ou 6 mois, pour accomplir la maquette il faut passer dans un secteur d’hospitalisation au moins, en UMC, en endoscopie ± en hôpital de semaine selon les promotions et les places.

Il y a au total 2 PU-PH, 8 PH, 2 CCA et 3 à 4 assistants partagés.
Cela permet d’avoir dans chaque secteur environ 2 visites par semaine.

Stages en périphérie

  • Chalon sur Saône au centre hospitalier et en clinique
  • Mâcon
  • Sens
  • Nevers, au centre hospitalier et en clinique
    ± Beaune et Auxerre, en cours de discussion

Gardes

Il existe (depuis novembre 2018) des gardes de spécialité, sur place, dédiées à la gestion de nos patients et des soins intensifs, ainsi qu’aux avis pour les urgences, services du CHU et de périphérie, ainsi qu’à l’endoscopie en urgence.

Il y a un senior d’astreinte disponible la nuit si l’on a besoin d’aide sur un avis ou une prise en charge mais aussi s’il y a un geste endoscopique et qu’on n’a pas fait encore le semestre d’endoscopie.

En 1er semestre, les gardes sont d’abord doublées avec un interne plus vieux pour une mise en situation progressive.

Cela représente environ 20 gardes par semestre au CHU.
Le repos de garde est systématiquement respecté.

Dans les hôpitaux périphériques, les gardes se font en majorité aux urgences.

Formation

Il y a un semestre de 6 mois dédié à l’endoscopie, et tous les hôpitaux en périphéries donnent accès au plateau d’endoscopie locale, même en 1er semestre.

Il existe une formation dans le centre de simulation, sur modèle animal et virtuel, une fois par mois.

Au niveau des cours :

  • bibliographie 1 fois par semaine avec 1 ou 2 présentations par un interne ou un chef
  • RCP, staff MICI & staff de service hebdomadaires
  • 1 cours hebdomadaire sur la gestion des urgences en garde, à chaque début de semestre
  • 2 journées de DES avec l’inter-région, tous les 6 mois dans une ville différente
  • plateforme de e-Learning nationale
  • accès aux congrès locaux ou nationaux

L’avenir

Il n’y a aucune difficulté pour réaliser des inter-CHU (Paris et Lyon surtout, tout est possible) ou M2 (à Dijon ou ailleurs selon le sujet), qui sont encouragés par les chefs.

L’accès à un poste de CCA (2 postes renouvelés tous les deux ans) n’a jamais été un problème pour l’instant, malgré l’augmentation massive des promotions. Il y a aussi un important choix de postes d’assistant.

En bref

  • accès à l’endoscopie
  • gardes de spécialité
  • un seul site c’est plus convivial
  • accès à l’oncologie aisé avec 9 places de FST d’oncologie par an
  • manque de formation en proctologie
  • pas de greffe sur place